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<rss version="2.0" xmlns:atom="http://www.w3.org/2005/Atom"><channel><title>Wxcafé</title><link>//wxcafe.net/</link><description></description><atom:link href="//wxcafe.net/feeds/feed.rss.ranting.xml" rel="self"></atom:link><lastBuildDate>Mon, 17 Feb 2014 05:02:00 +0100</lastBuildDate><item><title>NAT</title><link>//wxcafe.net/posts/nat/</link><description><p>NAT (Network Address Translation) in a word?<br />
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It&rsquo;s complicated. Very. Don&rsquo;t do it, you&rsquo;d damage your brain. </p>
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<p>Bon, sinon, prochain article serieux vite, bisous.</p></description><dc:creator xmlns:dc="http://purl.org/dc/elements/1.1/">wxcafé</dc:creator><pubDate>Mon, 17 Feb 2014 05:02:00 +0100</pubDate><guid>tag:wxcafe.net,2014-02-17:posts/nat/</guid></item><item><title>Pourquoi je vais quitter linux pour passer a FreeBSD.</title><link>//wxcafe.net/posts/pourquoi-je-vais-quitter-linux-pour-passer-a-freebsd/</link><description><p><em>This is subject to debate, and as most of the actors in this field are
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not French-speaker, there is an English version of this text <a href="http://data.wxcafe.net/archives/126">here</a></em></p>
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<p>Bon, voila. J&rsquo;ai passé le cap. Je suis sous GNU/Linux depuis un certain
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temps, maintenant, et depuis un certain temps je remarque des
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changements malvenus. Bien entendu, au début, je n&rsquo;avais pas les
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connaissances nécessaires pour comprendre ne serait-ce que ces
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modifications existaient. Et puis certaines sont arrivées avant que je
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n&rsquo;ai même idée que quelque chose dans mon système d&rsquo;exploitation avait
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cette fonction la. Par exemple, udev, ou policykit/consolekit/. A
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l&rsquo;époque, je n&rsquo;avais aucune idée de la façon dont les disques étaient
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montés sur mon système. Le premier système non-Windows que j&rsquo;ai utilisé
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fut Ubuntu 9.10 Karmic Koala, et il était encore trop tôt pour que je
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cherche a démonter le système pour comprendre comment il fonctionnait en
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profondeur. Cependant, avec le temps, les connaissances s&rsquo;accumulant et
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mon niveau de compréhension du système s&rsquo;améliorant, j&rsquo;ai commencé a
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remarquer que certain bouts de l&rsquo;OS ne collaient pas exactement avec les
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autres. Bien sur, je ne saurais dire si cette réalisation s&rsquo;est faite a
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cause de la recrudescence de ces bouts d&rsquo;OS, ou bien juste a cause de ma
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compréhension plus poussée. Toujours est-il que ces petits bouts d&rsquo;OS ne
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s’adaptant pas au reste du système se faisaient de plus en plus visible.
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Et puis, un jour, j&rsquo;en ai eu marre de voir unity sur ma machine, et j&rsquo;ai
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choisi de passer a Archlinux. C&rsquo;était avant le passage a systemd. Ce
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système me convenait bien. Si je n&rsquo;installais pas Gnome, ce que je ne
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comptais pas faire, il ne me forçait pas a installer un *kit
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quelconque, ni dbus. Oui, udev était toujours la, mais c&rsquo;était le moins
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envahissant de ceux la.</p>
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<p>Mais Archlinux est passé a systemd. Attention hein, je ne critique ici
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ni systemd, ni udev, ni même les <em>kit, et surtout pas Archlinux. Les
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premiers sont probablement très efficaces dans leur domaine, et le
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second n&rsquo;a pas <strong>vraiment</strong> eu le choix, rapport a la philosophie de la
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distribution d&rsquo;avoir au plus vite les dernières versions de tout.
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Cependant, systemd, tout comme udev et les </em>kits (bien que ce ne soient
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pas les seuls a faire ça&hellip;) ont un problème très précis, qui n&rsquo;importe
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pas a tout le monde, mais qui est très gênant pour ceux a qui il
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importe, et ce problème est que ces systèmes ne respectent absolument
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pas la philosophie UNIX. La philosophie UNIX, pour rappel, se résume en
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ces 9 principes :</p>
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<ol>
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<li>Ce qui est petit est beau</li>
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<li>Faites en sorte que chaque programme fasse une chose, bien.</li>
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<li>Faites un prototype aussi vite que possible</li>
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<li>Choisissez la portabilité plutôt que l&rsquo;efficacité</li>
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<li>Stockez les données dans des fichiers textes.</li>
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<li>Utilisez ce qui existe déjà a votre avantage. [<strong>1</strong>]</li>
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<li>Utilisez des scripts shells pour faciliter la portabilité et la
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réutilisation.</li>
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<li>Évitez les UI qui &ldquo;capturent&rdquo; l&rsquo;utilisateur.</li>
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<li>Faites de chaque programme un filtre.</li>
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</ol>
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<p>Alors bien entendu, un système d&rsquo;exploitation est fait pour évoluer, et
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on pourrait penser qu&rsquo;UNIX a fait son temps. Cependant, ce n&rsquo;est pas
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exactement la façon dont l&rsquo;informatique fonctionne. Effectivement, les
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standards, les systèmes d&rsquo;exploitation, les logiciels, tout doit évoluer
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- ou mourir - et UNIX ne fait pas exception a la règle. Mais ce n&rsquo;est
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pas d&rsquo;UNIX que nous parlons ici. C&rsquo;est de la <em>philosophie</em> UNIX. Et
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celle-ci n&rsquo;a pas fait son temps, <strong>elle a fait ses preuves.</strong> La
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philosophie UNIX, en plus d&rsquo;être efficace sur le papier, a aussi 44 ans
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de tests derrière elle, et fonctionne aussi bien qu&rsquo;au premier jour.<br />
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La philosophie UNIX est aussi et surtout une garantie d&rsquo;utilisabilité
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et de simplicité pour les administrateurs systèmes, pour les
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développeurs, bref pour tous ceux qui font de l&rsquo;informatique<em>sérieusement</em> (je ne dis pas que les autres métiers de l&rsquo;informatique
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ne sont pas sérieux, je prend juste ceux-ci comme exemples parce que ce
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sont ceux qui sont les plus proches du système).</p>
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<p>Tous OS se doit d&rsquo;avoir un système standardisé pour faire communiquer
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les programmes entre eux. UNIX a un système de pipes, des sortes de
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fichiers spéciaux permettant d&rsquo;échanger des informations. C&rsquo;est
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efficace, ça respecte le &ldquo;tout est fichier&rdquo;, c&rsquo;est standard, c&rsquo;est
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simple a comprendre, bref, ça fonctionne parfaitement. Dbus vient
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remplacer ça, avec une interface qui n&rsquo;est explicitement pas faite pour
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être utilisée a la ligne de commande mais a l&rsquo;aide d&rsquo;APIs, et un
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programme monolithique qui effectue sa tache d&rsquo;une façon complètement
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obscure pour l&rsquo;utilisateur. Alors bien sur, il l&rsquo;effectue d&rsquo;une façon
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efficace, cette tache. Oui, ça va plus vite qu&rsquo;avant. Oui, c&rsquo;est plus
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&ldquo;rangé&rdquo;, ça fait moins &ldquo;fouillis&rdquo;. Mais c&rsquo;est moins efficace. C&rsquo;est<em>beaucoup</em> moins utilisable pour l&rsquo;utilisateur final. C&rsquo;est
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horriblement chiant pour les sysadmins, parce qu&rsquo;ils ne peuvent plus
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lire facilement les échanges entre programmes. C&rsquo;est peu pratique, en
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fin de compte. Et ça ne respecte pas du tout la philosophie UNIX.<br />
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Systemd prend le même parti de créer une interface unifiée, accessible
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via des appels a des APIs uniquement, complètement obscure, extrêmement
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abstraite, bien entendu monolithique, et très peu ouverte a la
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modification par l&rsquo;utilisateur final. Alors oui, il parait que ça
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augmente la vitesse de boot. Eh bien, au risque d&rsquo;en choquer quelques
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uns, je préfère avoir un système qui boote <em>légèrement</em> plus lentement
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et que je puisse modifier facilement, et qui soit ouvert, compréhensible
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et distribué. C&rsquo;est presque comme si les projets freedesktop.org avaient
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pour but de remplacer la base UNIX de linux en créant un système
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concurrent, bâtard, bâti sur le kernel Linux mais n&rsquo;employant plus les
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systèmes basiques d&rsquo;UNIX.</p>
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<p>Le problème est qu&rsquo;il est facilement visible que la direction prise par
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la communauté Linux n&rsquo;est pas celle du retour sur les systèmes UNIX ni
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celle du développement de solutions respectant la philosophie UNIX, mais
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remises au gout du jour (?), mais est bien d&rsquo;accepter et de pousser les
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changements apportés par les projets freedesktop.org directement dans le
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cœur du système lui même. Ainsi, Fedora (très près de Red Hat, dont font
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partie de nombreux développeurs de ces projets), a déjà adopté tous ces
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changements (archlinux aussi, mais pour d&rsquo;autres raisons&hellip;), et on peut
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compter sur le fait que les autres distributions l&rsquo;adopteront un jour ou
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l&rsquo;autre.</p>
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<p>Bon, maintenant que nous avons, si ce n&rsquo;est démontré la nocivité de ces
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systèmes, tout du moins exprimé les raisons qui font qu&rsquo;ils me
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déplaisent, on pourrait penser qu&rsquo;il suffit de passer a une distribution
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n&rsquo;incluant pas systemd, voire a une distribution n&rsquo;incluant pas du tout
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de contenus freedesktop.org, et de vivre avec le fait de ne pas être sur
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archlinux. Cependant, avec un peu de réflexion, on voit que si des
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distributions comme archlinux et Fedora ont adopté systemd (et
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qu&rsquo;OpenSUSE est en train de l’intégrer), il est probable que cela
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devienne un standard au fil des années, et que seuls survivent systemd
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et upstart, le gestionnaire de démarrage d&rsquo;ubuntu, qui ne changera
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probablement pas (je les vois mal revenir en arrière sur ce point.)
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Toujours est-il que l&rsquo;init héritée du System V semble condamnée a mourir
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sous Linux. Il pourrait être judicieux de passer sous debian squeeze,
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qui ne recevra probablement jamais la mise a jour, ou a wheezy, qui ne
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la recevra probablement que dans 2/3 ans. Cependant, cette période est
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toujours trop courte, et met sur mon système d&rsquo;exploitation une date
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d&rsquo;expiration, chose qui ne me plait que moyennement. Non, la solution
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est de passer sous un système autre, qui ait son propre système d&rsquo;init
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(ou qui ne risque pas de passer sous systemd). Dans ce cas, deux options
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principales s&rsquo;ouvrent a moi: OpenSolaris et *BSD. Minix n&rsquo;est pas
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vraiment un choix, vu le peu de programmes qu&rsquo;il permet de faire
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fonctionner et le fait qu&rsquo;il ne soit disponible que sur i386, ce qui
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n&rsquo;est pas vraiment avantageux au vu de mon système en x86_64. Haiku
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n&rsquo;est pas un choix non plus, puisque le but est de rester dans une
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optique UNIX.</p>
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<p>OpenSolaris est un système d&rsquo;exploitation tout a fait valable. Je n&rsquo;ai
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en théorie aucun problème sur cet OS, sauf que certains choix de design
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ne correspondent pas du tout a l&rsquo;idée que j&rsquo;ai d&rsquo;un OS. En effet,
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OpenSolaris ressemble assez a Debian dans sa vision du fonctionnement de
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ses outils, avec des paquets modifiés pour les rendre plus simples a
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utiliser (fichiers de configuration fournis par défaut, par exemple, et
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autres patchs &ldquo;release-only&rdquo;), et une tendance a faire des scripts et
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des outils installés par défaut pour tout et n&rsquo;importe quoi. Bref, cela
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n&rsquo;est pas le sujet. Il convient aussi de voir qu&rsquo;avec la récente
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acquisition de Sun par Oracle, il est possible que le projet OpenSolaris
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n&rsquo;ait pas de très beaux jours devant lui (la <a href="http://hub.opensolaris.org/bin/view/Main/">page d’accueil</a> du
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projet affiche d&rsquo;ailleurs un ÉNORME logo Oracle, du meilleur gout.)</p>
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<p>Il reste donc *BSD. Pourquoi choisir FreeBSD plutôt qu&rsquo;OpenBSD, NetBSD
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ou DragonFlyBSD (pour ne citer que les plus connus) ? Et bien c&rsquo;est
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simple : pour aucune raison particulière. OpenBSD et NetBSD ont pour
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réputation d&rsquo;être orientées sécurité, et d&rsquo;après ce que j&rsquo;ai pu en voir
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DFBSD ressemble aussi au système de l&rsquo;assistance a l&rsquo;user a outrance
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décris plus haut. Mais la vérité est que je n&rsquo;ai pas fait suffisamment
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de recherches et que FreeBSD ne va me voir arriver que par hasard, parce
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qu&rsquo;entre toutes les BSD ca me semble la plus sympa et la plus agréable a
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utiliser, plus le fait que le système de ports me convient bien (j&rsquo;aime
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pouvoir configurer mes logiciels de façon assez profonde.)</p>
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<p>Voila, c&rsquo;est mon avis sur ce &ldquo;problème&rdquo; actuel du monde de Linux. Bien
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entendu, je continuerai a utiliser Linux, et je ne peux qu’espérer que
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les systèmes tels que systemd ou dbus ne disparaissent, ou tout du moins
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n&rsquo;apparaissent jamais chez certaines distributions, créant de ce fait un
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choix pour les utilisateurs.<br />
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[1]: Je n&rsquo;ai pas trouvé de traduction satisfaisante a &ldquo;software leveraging&rdquo;, mais l&rsquo;idée est la&hellip;*</p></description><dc:creator xmlns:dc="http://purl.org/dc/elements/1.1/">Wxcafe</dc:creator><pubDate>Mon, 04 Feb 2013 17:41:00 +0100</pubDate><guid>tag:wxcafe.net,2013-02-04:posts/pourquoi-je-vais-quitter-linux-pour-passer-a-freebsd/</guid></item><item><title>Update et pensées a propos du Raspberry Pi</title><link>//wxcafe.net/posts/update-et-pensees-a-propos-du-raspberry-pi/</link><description><p>Bon.<br />
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J&rsquo;ai annoncé il y a environ 20 jours que j&rsquo;avais pour projet de faire
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une Piratebox basée sur un Raspberry Pi, <del>astucieusement</del> nommée
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PiRatBox. Il se trouve qu&rsquo;après de nombreux essais, un problème
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récurrent apparait: le Raspberry Pi n&rsquo;est pas capable de fournir assez
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de courant par défaut pour faire fonctionner a la fois un disque dur et
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une antenne WiFi.<br />
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Alors, autant il me semble évident qu&rsquo;avec une
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alimentation provenant d&rsquo;un port USB a 2A (max), je n&rsquo;avais pas
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énormément de chances d&rsquo;avoir 2A sur chacun des ports host du Raspi,
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autant avoir moins de 250 mA sur chacun de ces ports me semble un tout
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petit peu exagéré en terme de rentabilité. </p>
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<p>De même, le fait de ne pas pouvoir désactiver le port Ethernet (ne me
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servant a rien) (vous savez, celui qui est monté en USB&hellip;), qui
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consomme énormément, est assez louche. Il devrait toujours être possible
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de désactiver une device USB, me semble-t-il, au niveau logiciel. La,
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bien qu&rsquo;il soit surement possible de la désactiver au niveau du kernel,
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il n&rsquo;est pas <strong>simplement</strong> possible de la &ldquo;débrancher&rdquo;. Ce qui est bien
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chiant, étant donné le besoin évident de puissance électrique dans
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lequel on se retrouve. </p>
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<p>Bon, je dois avouer n&rsquo;avoir pas testé de lancer les différents services
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composant le système des piratebox sous arch, pour la simple <del>et
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bonne</del> raison qu&rsquo;arch utilise systemd et qu&rsquo;il n&rsquo;existe pas de wrapper
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systemd pour les daemons piratebox, et que j&rsquo;ai la flemme d&rsquo;en faire,
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parce que systemd est une horreur a utiliser avec les scripts init. Donc
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non, j&rsquo;utiliserai debian. Le problème d&rsquo;utiliser debian dans ce cas
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précis est que apt/dpkg a une gestion des dépendances dans un sens mais
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pas dans l&rsquo;autre, en ce sens que si on installe un package &ldquo;haut&rdquo;, c&rsquo;est
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a dire dépendant de plusieurs autres packages, apt/dpkg se charge
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efficacement d&rsquo;installer toutes les dépendances nécessaires, tandis que
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si on désinstalle un package &ldquo;bas&rdquo;, c&rsquo;est a dire sur lequel de nombreux
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autres packages dépendent, apt/dpkg ne désinstalle pas ces packages
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&ldquo;hauts&rdquo;, ce qui pose un vrai problème quand on se retrouve sur un
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Raspberry Pi, puisqu&rsquo;il n&rsquo;y a pas de moyen &ldquo;facile&rdquo; de choisir ce qui
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sera installé sur le système avant l&rsquo;installation proprement dite
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(puisque le moyen &ldquo;universel&rdquo; d&rsquo;installation sur Raspberry Pi est le dd
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vers la SD qui sert de disque système.)</p>
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<p>Il y a <strong>énormément</strong> d&rsquo;autres critiques que l&rsquo;ont pourrait faire
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concernant le Raspberry Pi. Son système de démarrage a s&rsquo;arracher les
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cheveux, par exemple. En effet, plutôt que de faire comme tout pc
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normalement constitué ou la partie calcul démarre, lance le bootloader,
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cherche le kernel de l&rsquo;OS qui lui même se lance, initialise le hardware,
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etc&hellip;, a un système bâtard du au fait que la puce au centre de la carte
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est a la base une puce graphique a laquelle on a greffé un cœur de
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calcul (probablement au fond d&rsquo;une cour d&rsquo;immeuble, dans les quartiers
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pauvres de Bratislava, vu la propreté de la greffe&hellip;), et le moyen le
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plus efficace qu&rsquo;aient trouvé les personnes ayant implémenté cette
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atrocité de gérer le boot est donc de faire démarrer le cœur graphique
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en premier, ce dernier exécute un code propriétaire pour démarrer le
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cœur de calcul, qui a son tour lance le bootloader qui cherche le kernel
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||
etc&hellip; </p>
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<p>Ce qui non seulement complique énormément le boot, non seulement ajoute
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du code propriétaire a un projet se disant libre, mais en plus n&rsquo;est<strong>visiblement</strong> pas fait pour être utilisé de cette manière. Le hack,
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oui, mais uniquement quand c&rsquo;est bien réalisé, sinon je dis non. </p>
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<p>Enfin, le projet que j&rsquo;avais est toujours en cours de réalisation. Je
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le terminerai dès que j&rsquo;aurai récupéré les outils nécessaires pour
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monter mon alimentation personnalisée pour le Raspberry Pi. Et une fois
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que cela sera fait, ce Raspi restera une Piratebox pour le reste de sa
|
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vie. Les problèmes qu&rsquo;il m&rsquo;a posé, qu&rsquo;il n&rsquo;aurait pas du me poser, m&rsquo;ont
|
||
trop agacé pour que j&rsquo;aie envie de le sortir et de jouer avec une fois
|
||
sa mission remplie. </p>
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<p>Dommage.</p></description><dc:creator xmlns:dc="http://purl.org/dc/elements/1.1/">Wxcafe</dc:creator><pubDate>Sun, 27 Jan 2013 01:55:00 +0100</pubDate><guid>tag:wxcafe.net,2013-01-27:posts/update-et-pensees-a-propos-du-raspberry-pi/</guid></item></channel></rss> |